Son histoire

La création est un voyage où l’art et la nature se rencontrent, laissant une empreinte fugace de liberté et de beauté.

Portrait de FOSR, artiste de land art contemporain

« J’avais un atelier. Un vrai, avec un toit, des murs, un espace dédié à la création. Mais je ne m’y suis jamais senti chez moi. Trop confiné, trop détaché du monde réel. La création a besoin de mouvement, d’air, d’imprévu. C’est là que naît l’inspiration. »

Avant de devenir artiste, j’ai sculpté mon corps et mon esprit à travers le sport de haut niveau. Le parapente m’a appris à lire le vent, à comprendre l’espace, à jouer avec les éléments plutôt que de chercher à les contrôler. C’est dans cette interaction constante avec la nature que mon regard s’est forgé.

Aujourd’hui, je travaille là où l’art n’est pas censé exister : sur des îles perdues dans les marais, dans des paysages sauvages et intacts, ou sur toute surface naturelle prête à être transformée. Mon atelier, c’est l’espace où l’œuvre doit prendre vie, sans limites. Chaque surface devient une conversation avec l’environnement. Je choisis des peintures naturelles, pour respecter ce monde fragile et laisser une trace de ce que je ressens sans jamais laisser de trace nocive. C’est une démarche consciente, un acte de préservation, presque une forme de protection.

Je travaille au pulvérisateur, dans l’instant, sans filet. Chaque geste dialogue avec la nature, répond à ce qu’elle m’offre. Tout est éphémère, tout peut disparaître. Mais ce qui reste, c’est l’engagement. Il ne s’agit pas seulement de créer pour créer, mais de s’engager dans un moment, de capturer la beauté du monde dans sa fragilité. Chaque œuvre porte en elle cette interaction unique entre le lieu, le corps, la nature et la peinture.

Ses fondamentaux

Mon art s’ancre dans trois essentiels : la poésie de l’éphémère, l’harmonie avec la nature et un profond respect de l’environnement.

Éphémère & poétique

Chaque création que je réalise est destinée à disparaître.
Je peins directement sur la terre, l’herbe, les pierres… et je laisse la pluie, le vent ou le temps effacer mes œuvres.
Ce caractère éphémère est essentiel : il reflète la fragilité de la beauté, l’idée que rien n’est figé. Mes œuvres sont comme des instants de poésie, offertes à ceux qui les découvrent avant qu’elles ne s’évanouissent.

Dialogue entre art et nature

Mon inspiration vient de la rencontre entre deux mondes : le street art, né de la ville, et le land art, ancré dans la nature.
Lorsque je peins un visage, une silhouette ou un animal sur le sol ou sur une paroi, je ne cherche pas à imposer mon geste, mais à dialoguer avec l’environnement.
Chaque rocher, chaque arbre, chaque rivière influence la composition. Mes œuvres sont le fruit de cette conversation entre moi et la nature.

Respect de l’environnement

Je tiens à ce que mon art ne laisse aucune trace nocive derrière lui.
C’est pourquoi j’utilise des pigments naturels et biodégradables, qui se fondent dans la terre sans la polluer. Créer, pour moi, c’est honorer la nature, pas la contraindre.
Mon travail s’inscrit dans une démarche responsable : je cherche à embellir les paysages sans jamais les dénaturer.

Éphémère & poétique

Dialogue entre art et nature

Respect de l’environnement

Chaque création que je réalise est destinée à disparaître.
Je peins directement sur la terre, l’herbe, les pierres… et je laisse la pluie, le vent ou le temps effacer mes œuvres.
Ce caractère éphémère est essentiel : il reflète la fragilité de la beauté, l’idée que rien n’est figé. Mes œuvres sont comme des instants de poésie, offertes à ceux qui les découvrent avant qu’elles ne s’évanouissent.

Mon inspiration vient de la rencontre entre deux mondes : le street art, né de la ville, et le land art, ancré dans la nature.
Lorsque je peins un visage, une silhouette ou un animal sur le sol ou sur une paroi, je ne cherche pas à imposer mon geste, mais à dialoguer avec l’environnement.
Chaque rocher, chaque arbre, chaque rivière influence la composition. Mes œuvres sont le fruit de cette conversation entre moi et la nature.

Je tiens à ce que mon art ne laisse aucune trace nocive derrière lui.
C’est pourquoi j’utilise des pigments naturels et biodégradables, qui se fondent dans la terre sans la polluer. Créer, pour moi, c’est honorer la nature, pas la contraindre.
Mon travail s’inscrit dans une démarche responsable : je cherche à embellir les paysages sans jamais les dénaturer.

Rejoins l’aventure FOSR